Développement de l'état d'esprit

3 artistes inspirés par la religion

Michael Anglo

Les chefs-d'œuvre de la Renaissance de Michel-Ange Buonarroti ont été nourris par sa foi catholique religieuse, le plafond de la chapelle Sixtine étant resté l'une des représentations les plus célèbres des romans bibliques. Michel-Ange Buonarroti s'est inspiré du Livre de la Genèse et de la création d'Adam. Les critiques d'art ont remarqué que Luka Celorlli, qui a dessiné des tapis innovants similaires.

Michael Anglo n'était pas seulement un peintre. Sa statue du personnage biblique David est l'une de ses œuvres les plus célèbres. Encouragée par la République de Florence comme symbole de force et d'indépendance, David Galot, dans la Bible, a vaincu le géant avec seulement des cordes et une pierre. Michael Anglo a choisi sa représentation avant la bataille. La longueur de la sculpture est de plus de 5,2 mètres et a été taillée dans un seul bloc de marbre de Carrare.

Marc Chagal

Mark Chagal, phare de l'art moderne, est né en 1887 en Biélorussie dans une famille juive hassidique. Son art s'est largement répandu à partir de son héritage, mêlant les récits de la Bible au folklore, et oscillant souvent entre les peintures sacrées et celles des rêves.

L'histoire artistique note que même si beaucoup de ses pairs s'essayaient à l'abstraction, « la distinction de Chajal réside dans sa foi inébranlable dans le pouvoir de l'art pictural, qu'il a maintenu malgré l'absorption d'idées venues des étagères et du cubisme. »

Chagal a offert au centre médical Hadassah de Jérusalem une série de vitraux colorés, connus sous le nom des « douze tribus d’Israël ». Chacun d’entre eux est remarquable, avec des couleurs vives et des formes modernes. Ces vitraux représentent les douze chants de Jacob, les patriarches des tribus d’Israël. Vous pouvez trouver d’autres œuvres d’art inspirées du judaïsme, notamment des peintures, des questions de mezouzah et des bénédictions de la maison, dans https://israelicenterofjudaica.com/.

Léonard de Vinci

Léonard de Vinci, un autre artiste de la Renaissance, a mêlé art et science dans ses chefs-d’œuvre. Au XVIe siècle, comme dans Britanica, « les doctrines scolaires déclinaient et l’érudition humanitaire était élevée ». De Vinci a vu une troisième voie : l’artiste n’avait rien de moins qu’un monde – il pouvait transmettre une vérité réelle et exacte dans ses œuvres.

Sa créativité s'oriente souvent vers des sujets chrétiens, ce qui reflète le dévouement de son époque et ses réflexions philosophiques. « Le dernier dîner » représente le moment où Jésus déclare qu'un de ses disciples va l'aider. Grâce à l'utilisation de la perspective linéaire de Léonard de Vinci, le regard du spectateur est d'abord attiré vers le Christ, mais l'expression du visage de tous les Apôtres raconte une histoire.

Léonard de Vinci était fasciné par l'anatomie, avec « l'Homme de Vitrope », l'un des dessins anatomiques les plus célèbres de tous les temps. Dans sa thèse Della PetoraOu « sur le dessin », Lyon Patissa Alberti disait que les peintres doivent construire des personnalités humaines car elles sont dans la nature. Les peintres de la Renaissance s'appuient encore sur les idées d'Alberti et les œuvres délicates de Léonard de Vinci qui sont encore vibrantes et inspirent la terreur aujourd'hui.

Un héritage permanent

Les œuvres de Michel-Ange, Chagall et Da Vinci témoignent de la profonde L'effet de la religion sur l'art. Chaque artiste, à travers ses croyances et sa culture, se forme et crée des œuvres qui inspirent toujours. Ils avaient des cursus différents, mais chacun a révélé le pouvoir de la foi pour susciter la créativité et élever l'art.

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